Pannonhalma
En 996, le prince Géza a installé des moines venants de Bohémia, sur le
Mont Sacré de Pannonia. Le monastère établit en l’honneur de Saint
Martin de Tours est devenu la tête du pont orientale de la cultur de
l’Europe médiavale, remplissant les intentions du prince. Saint Étien,
le premier roi hongrois était, lui aussi, un visiteur régulier entre
les murs du monastère.
La vie des moines bénédictins est une vie communautaire. Les traditions
du monastère de Pannonhalma sont multiplement liées à l’éducation et au
travail pastoral. Mais au coeur de la vie monastique on trouve la
communauté, à laquelle les moines se sont engagés. Aujourd’hui, il y a
environ cinquante moines qui vivent à Pannonhalma, qui désirent
d’accomplir leur mission de garder et revivre l’espoir dans les cadres
de la vie et de la liturgie communautaire et du travail commun. Menés
par leur abbé, ils cherchent les réponses intégrées dans leur
traditions pour des questions posées par notre époque. Cependant, ils
visent de trouver la balance entre prière et travail, et entre la vie
intellectuelle et spirituelle.
Le monastère de Pannonhalma est un ensemble de bâtiment très complexe, mais je dois avouer, que du point de vue esthétique et historique aussi, c’est l’église qui est au fond de mon coeur. J’ai la conviction que c’est la plus belle église de la Hongrie, qui a été construite au Moyen Âge, durait pendant les siècles dans sa multiplicité, et qui doit bien être rénovée aujourd’hui.
En dehors du point de vue esthétique, je trouve ce lieu d’être la plus beau parce que c’est ici que je rencontre Dieu le plus souvent.
Les bâtiments du monastère gardent des messages diverses des époques
différentes de leur histoire, mais leur complexe exprime l’unité, une
unité dans la multiplicité. On peut y voir et découvrir une grand
héritage culturel, beaucoup d’objets anciens, des souvenirs qui sont
uniqes pour être utilisés selon leur fonction originelle par une
communauté monastique encore vivante. Malgré que le monastère est
ouvert pour le public, il y a quand même des espaces qui ne peuvent pas
être visités que par les moines. Enfin, tous se passent ici dans le but
de garder et de maintenir ce style de vie de plus que mille cinq cents
ans qui se nourrit du silence et de la prière, et qui permet chaque
moine de devenir de plus en plus soi-même et le frère des gens.
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2008.10.10 11:55:59
